( Desole si c'est assez court et pas assez détailé mais j'ai certaines raison de ne pas vouloir le prolongé...)

Bon... Me voilà arriver devant les portes de Shirotsume, ville ensevelie sous la neige malgré le printemps... Comment je suis arrivé içi? Voilà une petite explication.

J'étais à la guilde, regardant pensivement le tableau des missions, rien ne m'intéressais. J'allais voir le maître pour lui demander s'il y avait pas autre chose, quelque chose qui sort un peu de l'ordinaire. Il me dit qu'il avait bien quelque chose d'un peu different: entrainer des gardes... Sur le coup, j'avais trouvé cela bizarre de demander à des mages d'entrainer des soldats qui devraient déjà savoir manipuler des armes. Mais bon je la pris l'affiche que le maître m'avait tendu, ne lisant même pas les détails à part le lieu de la mission, ni en regardant la récompense je partis pour Shirotsume.

Et maintenant? J'étais devant une des portes de la ville, a chaque côté de cette dernière il y avait deux gardes. Je me dirigeais vers un, il me paraissait plus sobre que son comparse, bien que lui aussi semblait avoir pris quelques verres à ses couleurs, peut être était ce dut au froid aussi... Après lui avoir dit que je venais pour entraîner des gardes, l'homme soupira... J'ai loupé quelque chose? Après une brève explication du soldat, il me dit que la ville était attaquée les nuits depuis peu et que les gardes de la nuit n'avaient jamais suivi d'exercice physique, car ils pensaient que la ville ne serait jamais attaquée. Erreur de leur part! Aussi, plus personne ne pouvait les entrainer dans la ville car tous les maîtres d'armes était trop occupé a se soigner...

Le soldats me montra le chemin pour l'air d'entrainement. Tout en marchant, j'avais des explications sur pourquoi personne ne pouvais remplacer la garde de la nuit: il y a quelque temps, l'élite des gardes de Shirotsume étaient parties dans les montagnes pour aller abattre des Belkans voleurs, il était tous revenus victorieux, mais aussi tous gravement blessé.

En arrivant sur le terrain, les quelques soldats alignés me regardaient d'un aire de pitié, surement pour dire qu'ils ne voulaient pas faire cela... Ils ne penseraient qu'a eu et s'enfuiront certainement à la moindre attaque... Je me planta devant eux et leur dit:

" Ecouter tous! Vous avez peut-être peur de mourir, ce qui est tout à fait normal! Vous allez surement fuir au lieu de protéger cet endroit! Si vous faites cela vous serez des lâches, qui auront des remords pour avoir laissé les habitants de Shirotsume dans un bain de sang! Ils vous nourrissent et ils croient en vous, vous ne pouvez tout simplement pas les laisser tomber..."

J'avais peut-être fait rentré quelque chose dans leur tête, enfin je l'espere! Je demanda a tous de sortir leurs armes et de mettre quelque coup dans le vide. Chose flagrante, ils attaquaient n'apporte comment: certains essayaient de mettre des coups de claymore avec une main... A moins d'être fort, ce qu'il n'était surement pas leurs cas. Ensuite les lanciers, ils n'utilisaient qu'une seule mains aussi, facile à dévier la trajectoire. Ceux aux épées courte était ceux qui se débrouillaient le mieux, bien que je vais quand même devoir les entraîner. Les archers quand à eux, avait l'air OK, il faudrait juste qu'ils apprennent a fuir au bon moment et pas en début de combat...

Pendant toute la journée, je leur fis faire des exercices pour renforcer leurs capacités physiques: course pour l'endurance, musculation pour la force et un peu de gymnastique façon Maboroshi pour la souplesse. Ensuite, je leur donna quelques conseils dans l'utilisation des armes. Pour finir quelques points stratégiques. Je leur en est fait baver, nous avons dû parfois refaire plusieurs fois des exercices et certains réussissaient à se blesser a la tête en soulevant une haltère...

Vers la fin de la journée, je devais les quitter. Ils avaient pas mal appris ce que j'avais pu leur enseigner dans un court laps de temps. Je crois qu'ils sont prêt a pouvoir défendre leurs villes. Je repartie en prenant une bourse qu'on m'avait laissé dans un coin du terrain.