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Chiyoko Nana
 MessageSujet: Chiyoko Nana   Chiyoko Nana EmptyDim 27 Fév - 21:43

Anonymous
Invité


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CHIYOKO NANA


MON PASSE :


« Je m’appelle Chiyoko Nana. J’ai aujourd’hui dix-sept ans et je suis sur le point de commencer une nouvelle vie. Je sais qu’il sera difficile de vivre seule, d’être subitement autonome, mais j’ai l’impression que ce sera toujours mieux que ce que j’ai vécu avant de m’enfuir. Je n’ai plus personne à qui faire confiance près de moi, c’est pour ça que cette note je l’écris à celui en lequel je pourrais éventuellement placer ma foi et mes fardeaux. Pour l’instant, extérioriser ce que je ressens de cette manière m’aidera à reprendre mes esprits.
Commençons donc par le commencement :

Je suis née dans une zone retranchée du Royaume de Fiore, dans des montagnes ou le ciel est constamment recouvert d’épais nuages noirs. Mes parents chassaient et cueillaient pour subvenir à nos besoins quotidiens. Notre chalet était d’un bois foncé, presque noir de l’extérieur. La neige recouvrait le toit et des stalagmites se formaient sur son bord. Quand il ne faisait pas trop mauvais dehors – c’est-à-dire, rarement – mes parents m’emmenaient faire des tours dans la montagne. Ce qui était caché par cette obscurité constante, c’était les pins, les petits animaux de montagnes, les roches et la fraîche odeur de la forêt, je m’émerveillais, presque m’imprégnait de chaque instant en les faisant miens à jamais, comme s’il se pourrait que ce soit la dernière fois que je les vois. Le moment du retour était toujours un moment difficile, je ne pouvais pas me retenir de verser une larme, qui en quelques minutes, devenait glace sur ma joue. Ma mère avait toujours l’attention bienveillante de me l’enlever délicatement arrivés à la maison. A l’intérieur, l’ambiance était complètement différente, un feu nous réchauffant rendait le bois qui noir à l’extérieur, devient écarlate une fois illuminé par la flamme. Par-dessus cette flamme, mon père après avoir au préalable coupé des morceaux de viande, les posait sur un grill, et une fois que la nourriture était prête, nous mangions tous ensemble. La vie était une routine agréable, qui me convenait parfaitement à l’époque.

Pendant mon enfance et mon adolescence, mes parents m’apprenaient à survivre dans la nature, repérer les bons endroits, les bonnes plantes et appliquer les bonnes astuces en cas de danger. Peu à peu, j’acquis mon autonomie et les bases de la survie. Gambader en pleine nature ne me posait plus un seul problème. A terme, j’étais même arrivée à avoir une relation particulière avec les animaux. Je ne leur parlais pas, mais j’avais l’impression de les comprendre, j’avais l’impression qu’ils répondaient à mes regards, mes sentiments et mes pensées, qu’ils tentaient de communiquer avec moi. A des tonalités de rugissement, j’associais presque des paroles, a des mouvements, j’associais des directives ou des désirs. Puis finalement, aux animaux, j’associais le terme d’ « ami ». Je sortais de plus en plus en dépit de l’inquiétude que mes parents pouvaient avoir à mon égard, jusqu’au jour où ils s’habituèrent au fait que je reviendrais toujours vivante. C’était le cas, jamais je ne revins avec une seule blessure. Les animaux et moi semblions être en parfaite harmonie.

Le temps passait et aigles, corbeaux, belettes, marmottes, écureuils, sangliers, lièvres devinrent mes plus fidèles amis. Toutefois, je remarquai qu’ils m’emmenaient de plus en plus loin lors de mes promenades, comme s’ils voulaient m’éloigner de quelque chose. Je ne le savais pas encore à ce moment-là, mais plus tard, j’ai su qu’ils voulaient en fait m’éloigner de chez moi, c’est comme s’ils ressentaient le danger lorsqu’ils s’approchaient. Je le compris trop tard.

J’étais arrivée sur mes dix-sept ans cette année-là, comme à mon habitude, je partais gambader avec les animaux. La journée s’était extrêmement bien passée et tout semblait aussi merveilleux que cela fût lors de ma première balade. Je rentrais enfin chez moi quand je vis le corps de ma mère tomber dès que j’eus ouvert la porte. Son corps, pâli par la mort s’était étendu dans la neige, elle réussit néanmoins à puiser les dernières réserves d’énergie qui demeuraient en elle, me tendant une barrette en forme d’étoile et un message : « Elle te guidera ». A cet instant précis, les murs de la maison tombaient. Mon instinct de survie me poussa à revenir sur mes pas en courant, jusqu’à une distance ou les rondins de bois noir ne m’atteindrait pas. A mon plus grand regret, j’avais laissé le corps de ma mère sous les décombres de la maison. Mes larmes commençaient à couler intensément, ma mère que je choyais tant, morte devant mes yeux. Et le responsable de tout cela était devant moi, un monstre gigantesque à la fourrure blanche et au corps noir, qui tenait mon père d’une seule main, s’apprêtant à l’écraser dans sa poigne. J’étais tétanisée et mon corps refusait de bouger. Je pouvais me déchirer à le penser, ma volonté était sapée par la peur. Devant mes yeux à nouveau, mon père fût lancé au loin par la force incommensurable du monstre. Puis il s’apprêtait à m’approcher, mais s’arrêta un instant. Il me fixait et me regardait comme s’il voulait pénétrer à l’intérieur de moi. Je ne pouvais pas me détourner de son regard, mes membres refusaient de réagir. Je sentais mon esprit s’éteindre peu à peu …

A partir de ce moment-là, je ne me souvenais de rien. Tout ce que je sais, c’est que je suis encore en vie, une louve m’a comme sauvée. Je le sais, car lorsque je l’ai caressée en guise de remerciement, j’ai pût comprendre ce qu’elle pensait, tout était parfaitement clair : Lorsque le monstre m’avait fixé, la louve s’était précipitée sur ce-dernier pour le mordre, lui faisant perdre sa concentration. Elle s’est ensuite enfuie avec moi, aidée d’autres animaux. Un aigle faisait diversion tandis que d’autres mammifères portait mon corps jusqu’au bas de la montagne. La louve m’a également conseillé de partir, elle disait que je n’étais pas en sécurité ici, qu’elle s’inquiétait pour moi. C’est le cœur déchiré que je dû accepter la proposition, mais je m’étais souvenue de ce que m’avais dit ma mère, qu’une étoile me guiderait … Et je crois que cette étoile, c’est cette louve. Après tout, elle m’avait amenée jusqu’ici, jusqu’à la continuation de ma vie. Je lui en serais éternellement reconnaissante.

Je ne sais pas si l’on croira cette histoire, mais je sais que je peux parler aux animaux. J’en suis certaine. Tout était si clair. Aujourd’hui, je suis une citoyenne de Magnoria, j’habite dans un refuge pour orphelins et j’essaie d’aider les personnes qui y travaillent. Je suis très souvent au contact des animaux et j’apprends aux petits enfants de ne pas en avoir peur, car ils sont comme nous. C’est la première fois que je suis au contact d’autres humains que ma mère et mon père, mais les enfants sont tous très sympathiques avec moi, et j’ai eu une chance immense de ne pas me retrouver à la rue. Il y a également quelque chose qui me perturbe … J’ai l’impression que lorsque j’ai un contact physique avec un enfant ou quelqu’un d’autre, je suis en mesure de comprendre ce qu’il pense. C’est pour ça que je semble si performante lorsqu’il s’agit de s’en occuper, surtout pour les nouveau-nés. Ils ont besoin de se faire comprendre, comme tout être vivants.

J’espère enfin que celui à qui je lirais cette lettre me croira vraiment. J’ai tellement l’impression d’être différente de tous. Cela me donne des frayeurs parfois. »


MA PERSONNALITE :


Chiyoko est une personne ayant grandi dans le brut de la nature, élevée dans des conditions difficiles, mais avec tout l’amour qu’elle mérite. C’est une femme amoureuse de tout ce qui touche au respect de l’environnement et de la nature, mais aussi du respect que mérite chaque être vivant. En cela, elle est une femme très tolérante et bienveillante – d’autant plus qu’elle est en mesure de lire dans les pensées – avec tout être vivant, plante, animal, homme. Elle désapprouve la violence et tente le plus possible de recourir à la diplomatie et à la coopération.

Cependant, son rapport exclusif avec la nature l’a éloigné de tout ce qui est humain. Elle n’est pas encore au point pour la vie en ville. C’est pourquoi elle reste très réservée et distante lorsqu’elle est amenée à parlementer avec d’autres hommes ou femmes. Ce comportement est atténué lorsqu’il s’agit d’enfants. D’un autre côté, son rapport avec la nature – et également son pouvoir – lui permet en quelque sorte de parler aux animaux, aux plantes et de les comprendre.

Par ailleurs, Chiyoko est également une personne désireuse de découvrir le monde. Son arrivée en ville a éveillé sa curiosité. Si l’occasion s’en présentait, elle serait capable de partir faire le tour du monde pour en découvrir ses secrets et ses charmes. Pourtant, elle est obligée pour l’instant de rester dans son refuge, car c’est explicitement, son seul refuge, et elle en est déjà assez bien heureuse.

Enfin, Chiyoko n’a pas la vengeance de ses parents en tête, mais aimerait en savoir plus sur ces « monstres » qui les ont assassinés. Elle aspire à se montrer digne d’eux en toutes circonstances, à trouver de nouveaux amis, humains, et à retrouver ses anciens amis animaux.

En résumé, Chiyoko est une personne altruiste en qui l’on peut toujours compter une fois qu’on s’est lié d’amitié avec elle.


MES POUVOIRS :


Note : Je pense pouvoir me montrer très auto-modérateur quant à l'utilisation de ce pouvoir, j'ai expliqué, je l'espère le plus méticuleusement chaque particularités de ce pouvoir, et espère qu'il ne vous choquera pas trop. Merci.

Magie de Possession : Sen’ryou no Mahou
Bien qu’encore inconsciente de cela, le pouvoir de Chiyoko est presque le même que celui des « Vulkans » qui sont responsables (sans qu’elle ne le sache également) de la mort de ses parents. C’est à la base un don qui permet à son utilisateur de posséder le corps et l’esprit de la cible. Néanmoins, lorsque pour le Balkan, il s’agit d’une question de nécessité, pour Chiyoko, ça ne l’est pas. Pour utiliser son pouvoir sur des humains, Chiyoko doit être en contact physique avec la cible. Elle n’en a pas besoin lorsqu’elle exerce son don sur des animaux ou des végétaux. Le pouvoir de Chiyoko ne fonctionne pas sur les esprits des clefs, ou sur les objets inanimés.
La magie de possession permet également la réciproque, c’est-à-dire de déposséder. Au moment voulu, Chiyoko peut arborer une forme fantomatique qui la protège de toute forme d’attaque, mais l’empêche également de faire quoique ce soit, si ce n’est se mouvoir.


Cercle Magique de Chiyoko Nana
Chiyoko Nana 377129MagicCircle

    Techniques

  • Possession Mineure : Karui Sen’ryou
    Au contact physique, Chiyoko est capable de lire les pensées récentes et immédiates de sa cible sans qu’elle ne se rende compte que l’on pénètre son esprit. Le contact physique n’est pas requis si la cible est un animal ou une plante.

  • Possession Moyenne : Chuukyuu Sen’ryou
    Au contact physique légèrement prolongé, Chiyoko est capable de connaître les éléments qui ont constitué les trois dernières journées de sa cible sans qu’elle ne se rende compte que l’on pénètre son esprit. Le contact physique n’est pas requis si la cible est un animal ou une plante.

  • Possession Majeure : Chuushi Sen’ryou
    Au contact physique prolongé, Chiyoko est capable de connaître les éléments généraux qui ont constitué la vie de sa cible sans qu’elle ne se rende compte que l’on pénètre son esprit. Lorsque Chiyoko tente d’en percer les secrets, un risque que la cible se rende compte que l’on pénètre son esprit existe à hauteur que la personne tient à préserver son secret. Le contact physique n’est pas requis si la cible est un animal ou une plante, et leurs secrets sont directement accessibles pour Chiyoko.

  • Possession Supérieure : Shuuitsu Sen’ryou
    Au contact physique, l’esprit de Chiyoko est capable de pénétrer le corps de sa cible. En contrepartie, une importante quantité d’énergie magique est consommée, et le corps de Chiyoko est laissé inerte et vulnérable. Par ailleurs, si le corps possédé est blessé, ces blessures se répercutent également sur le corps de Chiyoko. Néanmoins, dans ce mode, toute l’expérience, le vécu, les pensées de sa cible sont instantanément accessibles à Chiyoko. Chiyoko peut choisir à tout moment de quitter le corps possédé et de retourner dans son corps initial. Enfin, lorsque Chiyoko quitte le corps de sa cible, l’esprit de cette-dernière met un certain temps à retourner dans son corps, ce qui le laisse dans le même état d’inertie que l’est Chiyoko à l’activation de cette technique. Le contact physique n’est pas requis si la cible est un animal ou une plante. Cette technique peut fonctionner sur des corps morts, mais aucun souvenir n’est accessible a Chiyoko si le corps est mort depuis trop longtemps (depuis plus d’une journée).

  • Forme Fantômatique : Konpaku Taikei
    Au moment souhaité, Chiyoko est capable d’extirper son esprit de son corps et d’envoyer ce-dernier dans une dimension alternative. Toujours apparente, Chiyoko revêt désormais une forme éthérée, fantomatique qui ne peut en aucun cas être attaquée ou attaquer quelqu’un ou quelque chose. Sous cette forme, Chiyoko est capable de passer à travers les murs, et de communiquer par la pensée avec les éléments qui l’entourent.
 MessageSujet: Re: Chiyoko Nana   Chiyoko Nana EmptyDim 27 Fév - 22:10

Hancko Emil
Hancko Emil

Indépendant Illégal

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Très bonne fiche, je te fais confiance quant à l'auto-modération de ton pouvoir. Il n'y a aucune autre remarque à souligner, tout est parfait : tu es validée !
   
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